Bonsoir
Mercredi 22 Janvier 2025 | Saint Vincent
22ème jour de l'année.
Une période difficile pour tous s'est présentée à nous sous la forme d'une pandémie, pendant laquelle chacun était appelé à rester confiné chez lui. Nous en avons tous été affecté d'une manière ou d'une autre, parce qu'évidemment, nul n'est à l'abri d'une interférence extérieure, d'autant que nous nous sommes trouvé privé de contact social.
Partie de Chine, dans la ville de Wuhan, cette contamination d'un coronavirus, le covid-19, s'est répendue de manière exponetielle à un moment où personne ne semble s'y attendre. Du moins pour les personnes en charge de la santé de l'humain au niveau mondial.
Beaucoup se sont exprimés sur la cause, les moyens, et les solutions. Toujours est-il que les conséquences dramatiques de cette crise pandémique a dépassé tout le monde. Pouvions-nous imaginer être soumis à une contamination dont l'issus ne pouvait qu'être fatal sans l'aide médicale ?
Durant sept semaines, du 17 mars au 11 mai en France, il était impossible de se déplacer, de quitter chez soi sans autorisation. Cela pourrait sembler abhérent, pourtant les autorités sanitaires ont pensé cette solution pour parer à la discémination du virus. Malgré cela, beaucoup de vies ont été supprimées.
Pendant cette période de confinement, tous isolés, recherchant le contact avec les proches par les moyens numériques de communication, nous avons accumulé en nous des choses inhabituelles. Aussi bien sentimentales que sensorielles, nos perceptions ont subi des modifications, et nous ont amené à réagir autrement.
Autrement avec l'environnement immédiat, dans un premier temps, et ensuite avec tout ce qui nous entoure. Rien n'a changé, mais nous voyions autrement les choses. Tout était sublimé, car tout était sans tumulte. Tout était agréable, car tout était sans filtre.